Partie I. Le prix de la reprise

Près de deux ans après l’apparition du virus Sars-Cov2, la crise sanitaire n’est pas terminée. Les vagues se succèdent et le nombre cas continue à augmenter l’échelle mondiale. Mais vaccination progresse, ce qui a permis ralentir contamination surtout d’hospitalisations décès. mesures prophylactiques subsistent mais elles sont d’une bien moindre intensité que lors période mars-avril 2020. Le profil croissance premier semestre 2021 est resté fortement conditionné par les pandémie perspectives améliorées.Sous l’hypothèse nouveaux variants ne compromettront l’efficacité vaccin, l’impact résorberait progressivement en 2022. Après avoir baissé 3,6 % 2020, mondiale atteindrait 5,8 % 2021.La forte reprise s’accompagne d’un regain d’inflation. Ces tensions seraient temporaires n’amèneraient banques centrales durcir brutalement conditions monétaires.En 2022, budgétaires soutien disparaîtraient contrairement l’après-crise des subprime, pays, notamment ceux zone euro, s’engageraient dans une consolidation budgétaire prématurée.Dans pays développés, trajectoire 2022 dépendra comportement d’épargne ménages ont accumulé patrimoine financier pendant périodes confinement. Sous taux stabilise son niveau fin 2019, l’activité développés ralentirait légèrement pour s’établir 4,1 % moyenne annuelle, n’interromprait processus rattrapage.